NĂ© en 1979, Sylvain Forlet essaie au quotidien de partager, avec des collĂ©giens exubĂ©rants, le plaisir qu’il Ă©prouve Ă manipuler la langue française. PĂšre tourmentĂ©, beau-pĂšre impliquĂ© et gĂ©niteur alambiquĂ©, il se demande parfois comment il en est arrivĂ© lĂ , lui qui ne rĂȘvait que d’ĂȘtre un aventurier solitaire. Quand les copies de ses Ă©lĂšvesâŠ
Bertrand Runtz
Bertrand Runtz est nĂ© Ă Paris en 1963, sous la butte Montmartre. Il devient photographe professionnel en 1991. Il est Ă©galement Ă©crivain et a notamment publiĂ© en 2005 un premier roman remarquĂ©, sĂ©lectionnĂ© pour le prix RoblĂšs. Depuis, alternant nouvelles et romans, il a publiĂ© six autres livres et compte bien ne pas en resterâŠ
Isabelle MiniĂšre
Isabelle MiniĂšre Ă©crit des romans, des nouvelles, des livres pour les enfants. Elle aime bien regarder les gens, imaginer leur vie. Marcher, rĂȘver, les deux en mĂȘme temps ou sĂ©parĂ©ment. Elle lit, elle Ă©crit, parce que⊠une seule vie, ça ne suffit pas ! Bibliographie Une vingtaine de livres publiĂ©s, chez diffĂ©rents Ă©diteurs, et des textesâŠ
SĂ©bastien Lavy, patron de la trĂšs connue Page et plume Ă Limoges, accueille dans sa librairie notre premier Ă©vĂ©nement, le 17 octobre. 2 auteurs et une photographe de la revue participent Ă cette rencontre : Christina Mirjol, Stephan Ferry et Florence White Christina Mirjol autrice de nombreux romans et recueils, entre autres au Mercure de France,âŠ
Michel Daumergue
Ătudes d’arts plastiques pour dĂ©couvrir le champ des possibles, et en ai fait mon mĂ©tier. Photographie et peinture, mediums utilisĂ©s depuis. La ville fournit des occasions multiples par leurs architectures et lignes gĂ©omĂ©triques, leurs couleurs, l’animation des rues, les murs et les personnages au grĂ© de rencontres. Lieux abandonnĂ©s, usines ou anciens hĂŽpitaux, aux texturesâŠ
ANNULATION â Salon de la revue, 9-11 octobre
et ce sera notre premier salon Halle des Blancs Manteaux, Paris 4e AssignĂ©s ! Le salon de la revue devait ĂȘtre un temps fort pour Pourtant. AprĂšs une dizaine de mois de travail Ă la crĂ©ation de cette revue avec ses auteurs, dont des mois confinĂ©s, nous allions enfin avec ces auteurs vous rencontrer autourâŠ
Protégé : Promo revue
Il nây a pas dâextrait, car cette publication est protĂ©gĂ©e.
Thomas Pourchayre
Thomas Pourchayre Ă©crit depuis toujours. C’est pour lui juste une histoire de cafĂ© serrĂ©, de banquise page blanche au large, d’absence de sucre et parfois mĂȘme de photos de clous rouillĂ©s. Il aime le sujet du choix, l’assume jusqu’au sentiment de bouteille Ă la mer ; et, quand il en sort, c’est qu’il l’a choisi.âŠ
Protégé : Sens unique
Il nây a pas dâextrait, car cette publication est protĂ©gĂ©e.
par Laura Sanchez . Ces derniers mois, comme la grande majoritĂ© des ĂȘtres humains, j’ai regagnĂ© mon cocon en attendant que passe la tempĂȘte. Durant l’attente, il semble qu’un glissement vers l’Ă©tat larvaire se soit opĂ©rĂ© â jusqu’Ă ce que nos gouvernements nous autorisent Ă en sortir â et cette Ă©closion progressive m’a conduite Ă âŠ
Naissances
Le thĂšme de Pourtant n°2 est « naissances ». Voici 23 variations de Ăros Ă Thanatos. Nous attendons autour d’elles vos nouvelles de fiction, vos photographies, vos poĂšmes.
. par Stephan Ferry . Louis avait abusĂ© des sucettes Ă chimĂšres. Cela lui arrivait souvent. Ces derniers temps davantage encore que par le passĂ©. De sa vie il ne sâĂ©tait senti si dĂ©sĆuvrĂ© et cette oisivetĂ© forcĂ©e lui pesait au-delĂ du supportable. DĂ©sespĂ©rĂ©ment seul, coincĂ© entre les quatre murs lĂ©preux de son douze mĂštresâŠ
Stephan Ferry
Natif de la forĂȘt vosgienne, Stephan Ferry (1970) est journaliste, photographe indĂ©pendant et auteur de fictions, avec une prĂ©dilection trĂšs marquĂ©e pour les textes noirs, teintĂ©s d’humour grinçant et de poĂ©sie. Il a dĂ©butĂ© sa carriĂšre en Jordanie â oĂč il a activement contribuĂ© Ă fonder la revue littĂ©raire franco-arabe En attendant⊠â, puis enâŠ
. par Christine Laurent-Vianaud cadre de santĂ© formatrice . 15 mars. Le temps sâarrĂȘte, plus de cours de piano, plus de tatami, plus de contact. Et bien sĂ»r les maisons de retraite, hauts lieux Ă risques, ferment leurs portes. Les visites sont interdites. Cela me fait hurler de colĂšre et des sanglots mâenvahissent, insurmontables. Quels mauxâŠ
. par Philippe Philibert . Il mâa fallu bien du temps pour mâhabituer Ă ma condition. Cet Ă©tat a constituĂ© pour moi une dĂ©ception⊠Je nâavais pas prĂ©vu dâĂȘtre fantĂŽme au jour de ma mort⊠à vrai dire, je nâavais rien prĂ©vu. Je me dis parfois que câest un bon tour jouĂ© Ă lâarchiviste queâŠ
par Borderlines.cie . LuiCe soir, je vous trouve par le fait digital dâalgorithmes dont le secret mâĂ©chappe. Elle Je mâennuie aussi. Ennuyons-nous ensemble.Comparons nos nuances de gris.Vous vivez oĂč ? . Clermont-Ferrand. . . Je comprends mieux.Cette ville en grisaille,OĂč les nuances sont visibles. DĂ©jĂ une certitude ! Câest fou ça ! Jâaime avoir desâŠ
Borderlines.cie
. Laisser libre court Ă la fantaisieSâessayer un peu Ă la poĂ©sieNe pas contrarier muses et dĂ©essesEviter le mauvais goĂ»t de justesseDonner surtout de la voix aux damnĂ©sSe perdre au dĂ©tour dâidĂ©es raffinĂ©esOublier le Bien, le Vrai et le BonSe souvenir que PĂąris est un conEspĂ©rer Ă la fin se voir sauvĂ©Jouir du Beau, lecteur,âŠ
. par Lionel Laboudigue . la nuit aura durĂ© deux moisles volets s’ouvrent sur la ville les façades s’Ă©clairent les rues s’Ă©tirent doucementpremiers pas fĂ©briles de libertĂ© retrouvĂ©epremiĂšres silhouettesle dĂ©cor n’a pas changĂ© et pourtant rien n’est pareilune Ă©trange inquiĂ©tude me saisit le monde est devenu monochrome privĂ© des couleurs rassurantes de l’Ă©motionle virus aâŠ
. par Thomas Pietrois-Chabassier . Dans la boĂźte quâils avaient inventĂ©e, ils passaient H Friend de Black Devil Disco Club, et ils dansaient, aussi naturellement que sâils avaient composĂ© la chanson eux-mĂȘmes, et ils dansaient comme ça, sans mĂȘme se souvenir du nom de ce qui passait pour cette nuit, tous les deux, marchant surâŠ
Lionel Laboudigue
NĂ© en 1971, Lionel Laboudigue est professeur des Ă©coles, spĂ©cialisĂ© dans l’aide dite « Ă dominante relationnelle ». Ses photographies saisissent l’ĂȘtre quand il est Ă l’arrĂȘt, sans doute pour mieux l’interroger. Expositions Voyage en Etalie, Le Mille PĂątes, Tours, 2019PlongĂ©e en surfaces, Le Court-Circuit, Tours, 2019La solitude des funambules, cinĂ©ma Studio, Tours, 2019 ĂâŠ
par Florence White . Entre frissonnement et Ă©bullition, flottement et agitation,tremblement et vibration, la mise au point est difficile. . 18 juin AprĂšs #5 11 juin AprĂšs #4 5 juin AprĂšs #3 30 mai AprĂšs #2 22 mai AprĂšs #1 . Dans cette sĂ©rie Ce monde est flou, la photographe Florence White poursuit son travailâŠ
Laura Elisa Sanchez
NeÌe aÌ Toulouse, d’un peÌre basque espagnol et d’une meÌre colombienne, je me trouve ainsi aÌ la frontieÌre de trois cultures. Aujourd’hui aÌgeÌe de vingt-deux ans, je poursuis des eÌtudes en sciences humaines et politiques en paralleÌle desquelles je m’adonne aÌ la danse et aÌ l’eÌcriture. Bibliographie Short trip, nouvelle, Pourtant n°1, 2020Hymne Ă laâŠ
Jacques Cauda
Jacques Cauda est peintrĂ©crivain, cinĂ©aste jadis. Artiste polymorphe, il Ă©crit le corps comme le cyclostome Ă©lĂ©gant Ă©crirait sâil Ă©crivait. Autrement dit, il sâenroule autour des mots en tenant la vie par les lĂšvres. Il a reçu le prix spĂ©cial du jury Joseph Delteil 2017 pour Ici, le temps va Ă pied, Ăditions Souffles. Il estâŠ
par Yannick Duc . Photo Yannick Duc « On ne peut pas sĂ©parer la pandĂ©mie de notre condition Ă©cologique, de lâatteinte Ă la biodiversité⊠» Acheter ce numĂ©ro en LIVRE PAPIER Iinformations & souscription PandĂ©mie 2020, vies humainesrevue en ligne par nos auteurs, photographes et nos invitĂ©s Accueil Ădito Sortir en LIVRE PAPIER 2/ LEâŠ
Richard Huitorel
NĂ© en Bretagne en 83. MĂ©moires dâĂ©tudes de lettres sur CĂ©line et Pierre Benoit, passionnĂ© de Ford, Roth et Don DeLillo. Correspondant sportif au TĂ©lĂ©gramme de Brest et maintenant Parisien. Bibliographie Dans la chambre, Revue BrĂšves n°86, 1999, nouvelle Un samedi, dans Agenda 2015, Ă©d. Jacques Flament, nouvelle Rue Orfila, dans La clartĂ© sombre desâŠ