« De moi-même, de moi, je n’ai rien à dire. Ou seulement ceci, savoir : je suis miroir moi-même où le monde se noie — où l’univers se voit — où n’importe quoi se regarde, n’importe qui. »
Marcelle Delpastre, « Cinq heures du soir », Éditions De Borée
En Creuse, où je suis posée depuis 25 ans, j’arpente les chemins et je regarde.
J’entrevois, je capte l’impression, je fixe le temps, je garde l’instant, je rends l’effet. Sans jamais y parvenir tout à fait.
fw
Site web
Le blog que j’anime : http://chorus23.canalblog.com/
Dans Pourtant
Dans le numéro 1 :
- Effervescence et Insecticide, photographies
En accès libre, dans le numéro Pourtant, Pandémie :
- Pandémie. Pourtant, les fleurs, série
- Ce monde est flou, série
6 réponses sur « Florence White »
[…] par Florence White […]
[…] confinés et inquiets. Pendant ce temps, ici, le printemps est insolent et la nature exulte. Par Florence White — voir la photo en […]
[…] cette série Ce monde est flou, la photographe Florence White poursuit son travail d’observation commencé avec Pandémie. Pourtant, les fleurs, dans ce […]
On écarquille les yeux jusqu’au vertige pour retrouver les images de notre vie “d’avant ” et on veut y deviner le départ d’une nouvelle cohérence.
Merci Florence pour ces images.
[…] Pandémie. Pourtant les fleurs, Florence White […]
[…] Biographie […]