« Ainsi dans Fake fake fake (Enfumage) les textes de Stéphane Barthez dialoguent avec les photographies d’Aurélien Delafond. Dans Je pars au flou, les séries floues en noir et blanc de Frédéric Martin ne sont ni prétexte ni illustration mais plutôt invitation à inventer des histoires et à réfléchir au fait que la photographie censée représenter le réel est à l’aise avec le mensonge. Enfin dans Parfois je mens et parfois pas, Florent Arc qualifie la réalité de « mythe » ou d’abstraction quand quatre témoins rendent compte d’un même événement: au final ‘un seul fait, quatre versions différentes. Quatre constructions … Mais quatre fictions tout de même’ … »
Harfang n°62, mai 2023
Le site web de Harfang : http://nouvellesdharfang.blogspot.com/